Si on ajoute le taux d'évaporation de l'éthanol (point éclair) qui est plus rapide que celui de l'essence, et la capacité de l'éthanol à absorber l'eau en suspension dans l'air, on achète donc une éponge qui se volatilise.
Entre la sortie chez le pétrolier qui effectue le mélange à 10 ou 7,5%, le stockage chez lui, le transport chez le grossiste, le transport à la station, le stockage à la station, le plein dans notre réservoir, et le temps de séjour dans ce réservoir, quand le carburant finit dans le cylindre du moteur il ne reste plus grand chose qualitativement et quantitativement de l'alcool éthylique pure que le pétrolier à mis dans son essence.
C'est du pur marketing pour nous vendre du vent sous prétexte de faire du bien à la planète
