nouveau poignet gauche
Publié : 18 oct. 2007, 15:41
Attention « DANGER »
Par cette belle journée automnale, je me véhiculais nonchalamment à bord de ma superbe auto, pour me rendre à mon bureau.
Heureux homme que j’étais(et que je suis), j’arborais à mon poignet un exceptionnel « garde temps »( c’est comme ça qu’on dit quand sa valeur est inestimable) souhaitant alors faire partager mon bonheur, je tendais donc mon bras gauche hors du véhicule.
Surpris, le déplassoir à roulette qui venais en face, pilla croyant que je tournais et de fait, se fit embrasser, bien involontairement l’arrière train.
Je souriais continuant mon chemin.
Plus tard, alors que, toujours le bras en évidence, j’abordais la ligne droite d’un grand boulevard, je fus surpris par quelques klaxons de mes contemporains qui hésitaient à doubler éblouis par les reflets du cadrans.
Le hasard voulu que je croise, un de ces privilégiés qui comme moi, circule dans un véhicule d’exception.
Bien élevé, que je suis, je le saluais toujours de ma main gauche ou scintillais à son poignet le fameux bijou.
Là, un bref éclair surgi de ses yeux et sa langue envieuse traîna parterre.
Mal lui en pris, un des ces pneus lui roula dessus et je pense que le malheureux a, depuis, quelques peines à s’exprimer.
Vous tous, qui comme moi êtes ou serez les quelques rares privilégiés à posséder cette exceptionnelle montre, gardés-vous de gestes trop ostentatoires et réservons notre plaisir en solitaires !
Merci Jean !
Par cette belle journée automnale, je me véhiculais nonchalamment à bord de ma superbe auto, pour me rendre à mon bureau.
Heureux homme que j’étais(et que je suis), j’arborais à mon poignet un exceptionnel « garde temps »( c’est comme ça qu’on dit quand sa valeur est inestimable) souhaitant alors faire partager mon bonheur, je tendais donc mon bras gauche hors du véhicule.
Surpris, le déplassoir à roulette qui venais en face, pilla croyant que je tournais et de fait, se fit embrasser, bien involontairement l’arrière train.
Je souriais continuant mon chemin.
Plus tard, alors que, toujours le bras en évidence, j’abordais la ligne droite d’un grand boulevard, je fus surpris par quelques klaxons de mes contemporains qui hésitaient à doubler éblouis par les reflets du cadrans.
Le hasard voulu que je croise, un de ces privilégiés qui comme moi, circule dans un véhicule d’exception.
Bien élevé, que je suis, je le saluais toujours de ma main gauche ou scintillais à son poignet le fameux bijou.
Là, un bref éclair surgi de ses yeux et sa langue envieuse traîna parterre.
Mal lui en pris, un des ces pneus lui roula dessus et je pense que le malheureux a, depuis, quelques peines à s’exprimer.
Vous tous, qui comme moi êtes ou serez les quelques rares privilégiés à posséder cette exceptionnelle montre, gardés-vous de gestes trop ostentatoires et réservons notre plaisir en solitaires !
Merci Jean !