Alors moi, afin d'éviter l'effet de surprise, quand je dois rouler dans de mauvaises conditions, je prends le problème à l'envers : dès que j'ai un peu de dégagement, je teste les limites de la voiture (donc à l'accélération tout le temps, pas au freinage) et donc de 1, ca me permet de calibrer les réactions, de 2, de pas avoir de surprises. Expérience de la M3E30 sous la flotte et la neige. Bon en même temps, j'habite à 1100m d'altitude et vais bosser à 370, le trajet entre les 2 étant une course de cote donc la glisse est le lot quotidien l'hiver, en tout types de véhicules ( que ce soit du bon vieux quattro ou bien de la 911 de 30 ans sans LSD).
Quand je roule avec un oeuf sous le pied, c'est là que je me fais le plus peur car arrive un moement ou j'ose plus charger le moindre essieu et donc ne communique plus à la voiture clairement mes intentions. Sauf que précisément, quand l'adhérence est faible, ce sont les conditions où la voiture va plus tourner au transfert de masses qu'avec le volant. J'ai souvenir de la spéciale de St Jean en Royan du RMC prise par mon instructeur avec une épaule en vrac et 30cms de fraiche au sol. Au début tu te dis que ca va être impossible de prendre le moindre virage vu que pas moyen de tourner vite le volant. Et bien il est monté bien 20 km/h plus vite que moi après 2 heures de pratique et 2 bras et la voiture tournait bien mieux alors qu'il ne mettait pas plus d'un quart de tour de volant.
Conclusion, pour moi faut se méfier du roulage bon père de famille qui est un remède presque pire que le mal bien souvent
vravolta a écrit :Alors moi, afin d'éviter l'effet de surprise, quand je dois rouler dans de mauvaises conditions, je prends le problème à l'envers : dès que j'ai un peu de dégagement, je teste les limites de la voiture (donc à l'accélération tout le temps, pas au freinage) et donc de 1, ca me permet de calibrer les réactions, de 2, de pas avoir de surprises. Expérience de la M3E30 sous la flotte et la neige. Bon en même temps, j'habite à 1100m d'altitude et vais bosser à 370, le trajet entre les 2 étant une course de cote donc la glisse est le lot quotidien l'hiver, en tout types de véhicules ( que ce soit du bon vieux quattro ou bien de la 911 de 30 ans sans LSD).
Quand je roule avec un oeuf sous le pied, c'est là que je me fais le plus peur car arrive un moement ou j'ose plus charger le moindre essieu et donc ne communique plus à la voiture clairement mes intentions. Sauf que précisément, quand l'adhérence est faible, ce sont les conditions où la voiture va plus tourner au transfert de masses qu'avec le volant. J'ai souvenir de la spéciale de St Jean en Royan du RMC prise par mon instructeur avec une épaule en vrac et 30cms de fraiche au sol. Au début tu te dis que ca va être impossible de prendre le moindre virage vu que pas moyen de tourner vite le volant. Et bien il est monté bien 20 km/h plus vite que moi après 2 heures de pratique et 2 bras et la voiture tournait bien mieux alors qu'il ne mettait pas plus d'un quart de tour de volant.
Conclusion, pour moi faut se méfier du roulage bon père de famille qui est un remède presque pire que le mal bien souvent
J"aime beaucoup cette vision !
C'est aussi ce que tente de faire, peut etre plus pour le plaisir que pour la prevention je vous l'accorde .
Pour l'instant, j'ai jamais eu de mauvaises surprises sur route ouverte (je ne parle pas sur circuit)
Je me souviens de conditions dantesques sur charade, on etait trois a avoir mis les pneus sur la piste , mais dieu merci, tout c’était bien passé.
Au dela de la vigilance, une voiture c'est comme un bourrin : faut à un moment passer physiquement ce qu'on a en tête. Et à le faire trop mollement, ca ne se convertit pas en l'action voulue. Ainsi par exemple, quand on essaie de faire soft, on va tourner le volant trop lentement et donc on n'aura jamais une voiture assise. Et une voiture pas assise, c'est le début des emmerdes car ca peut réagir n'importe comment. Cet été, j'ai roulé le coupé Dino au quotidien (pour situer les choses, un moteur de Ferrari Dino dans une caisse de coupé Fiat de 1971 avec des pneus en bois qui doivent avoir facile 15 ans et copieusement arrosés par les petites fuites d'huile d'une mécanique de cet age). Ben franchement, ca me faisait peur car c'est tout molasson et donc j'avais un sentiment de flou. Puis est arrivé un jour ou j'étais dans l'état d'esprit de jouer avec. Donc grands coups de volant bien volontaire pour la faire partir et avec, histoire d'assurer le coup, un bon coup de gaz. Et ... rien! La caisse n'a jamais bronché, à peine de la petite dérive, jamais de ruades à la général Lee sur la terre comme j'imaginais. Depuis, je n'hésite pas à la conduire fermement, et tout va bien, jamais mouillé une chemise ou salit un slip à cause de la peur. Et pourtant, on parle d'une caisse de 40 ans avec pneus et amortos hors d'age et une puissance assez importante (180 à 195 CH suivant le régime du rupteur).
Idem pour la dernière fois que j'ai ramené la S7C chez K : route gras mouillée, 048R au témoin avant de faire la route des grandes alpes (ils étaient plus dispo donc j'ai du partir comme ca), 42 de couple et 200 bornes d'autoroute mal drainée à enquiller. Ben jamais le moindre frisson malgré les coups de raquette à chaque passage sur les bandes blanches (l'ouverture du train AR donne ces réactions quand l'adhérence est différente entre les 2 roues d'un même train vu que les dérives ne s'annulent plus). Donc je recommande le fait de tester, ne serait ce qu'une fois dans un lieu dégagé pour voir si ca convient à son type de conduite, mais franchement, c'est le jour et la nuit je trouve.
Salut Vravolta,
Pour situer les choses, il serait peut-être bon d'indiquer ton niveau de pilotage. D'après ce que je peux lire, t'es un "soupçon" meilleur que le gros de la troupe Sevener... Tout le monde n'est pas Mc Queen (le vrai, einh ! pas celui de Cars )
J'ai déjà rapporté un témoignage sur ce salon : c'était l'histoire d'une Cat qui s'est langoureusement blottie (en fait pulvérisée) contre une glissière de sécurité sur autoroute, par temps pourri.
Je vais paraître un peu casse-barraque et je m'en excuse. Vraiment.
Mais j'ai tout de même envie de réagir à ce que je lis : les notions de maîtrise de transfert de masse, le jeu avec les essieux, la température de la pluie, et tout ça... C'est bon à raconter entre potes autour d'une bière, ou alors à appliquer sur circuit, quand on a déjà un casque, des dégagements, pas de voiture en face, et des piles de pneus pour vous cageoler au moment du contact... Histoire de rattraper la mauvaise mise en pratique du discours expert, tenu une bière à la main.
Là sur la route, il y a quand même le principe de réalité.
Et le principe de réalité, c'est que quand vous prenez votre Seven par temps pourri ou non, on s'inquiète pour vous. Votre femme, vos enfants s'inquiètent pour vous. C'est aussi que quand vous prenez votre Seven par temps pourri, quand ça décroche, pour 90% d'entre vous, les cours de pilotage qu'on a sortis au pote, ils servent plus à rien. Ils servent plus à rien parce que sous la pluie, même à 40 à l'heure, c'est déjà un peu trop tard (j'ai vu une petite vidéo trainer...).
Ils servent plus à rien aussi parce que, si avec cette bagnole c'est sous la pluie que vous avez envie déconner, c'est qu'il y a un problème dans la tête.
Donc, les vraiment excellents pilotes, les vrais de vrais, ils vous le diront :
1 - par temps pourri, on évite de prendre la Seven.
2- Et si on prend la Seven, on fait comme si on tenait le volant d'une 4 chevaux.
C'est ce que je fais avec celle de mon père. C'est ce qu'il fait avec la sienne. Tout le monde est tranquille, cool. Et ça reste un pur objet de bonheur. Et les moments passés ensemble sous la pluie, sous la capote, nous laissent des souvenirs tordants. Ca tombe bien, la Cat est faite pour ça.
Bien à vous !
Atteint de sevenisme qui a évolué vers un morganisme aigu, avant de replonger : mes névroses sont graves mais à ne pas trop soigner
Donc pas un niveau incroyable, surtout pas pour faire un temps, mais je travaille chaque année le minimum vital car obligé par la force des choses de rouler quotidiennement l'hiver sur des routes qui contrairement à la France ne sont pas déneigées jusqu'au goudron et donc qui restent glissantes. Et pour dire le niveau de difficulté, ma femme qui sait pas ce qu'est un piston y arrive aussi. Donc contrairement aux limeurs de bitume où là c'est presque un vrai métier, ne pas se mettre au tas dès que ca glissouille ca reste selon moi jouable y compris en seven et pas seulement devant une bière.
D'ailleurs, vous allez rire, mais le Carcoon qui abrite la belle s'est déchiré tout à l'heure sous le poids de la neige, usé par les UV de cet été et donc y'a fallu mettre d'urgence la Cat à l'abri dans la vallée, soit 15 bornes de virolos en 048R et autobloc sous la neige en haut, bouillasse en bas, heureusement pas de sel. Et visiblement, j'ai survécu même si j'ai du me faire une bonne tisane en arrivant car bordel ce que ca pelle!
Donc biensur faut pas être bien pour sortir volontairement la Seven quand il fait gras, mais faut aussi arrêter les légendes urbaines comme quoi on va mourir aussi surement que ceux qui sont allés construire le sarcophage de Tchernobyl en 1986. Ca se gère sans devoir être aussi doué que Loeb et conduire en serrant les fesses n'est de loin pas l'unique ni la meilleure méthode. Je dis pas qu'il faut aller au taquet mais garder des actions franches est la base de la conduite sur terre / neige et donc aussi sous la pluie en seven.
D'ailleurs, si on regarde la vidéo de SebCaterham, visiblement il conduit fermement sa Cat, sur de la boue et des routes pas larges et étonnamment, ca ne semble pas totalement inconduisible voire même facile... Lui peut en même temps aller vite car il a un bon coup de volant avéré. Mais un moins doué n'est pas condamné à rouler en première dès qu'il y a un peu d'humidité. Maintenant, chacun fait comme il sent en fonction de ses moyens, mais honnêtement, je pratique quotidiennement et je ne me suis pas fait peur alors que ladite monté voit passer l'ambulance chaque weekend ou il fait beau pour aller récupérer un motard dans le trou. Donc y' pas non plus de pneus pour me cajoler ... et pourtant, ma femme et moi on est encore en vie avec ces pratiques inconscientes. Y'a donc probablement un truc pas trop faux dans ma manière de faire
Sec, gras, mouillé : même combat. ca glissera toujours
faut juste connaitre les limites (ou les sentir).
La seule fois ou j'ai fini 2 roues dans l'herbe, c'est : sur le sec, à 90km/h, sur une ligne droite interminable => un faisan a traversé la route sans regarder, du coup 180°.
Je me souvient d'un retour de ballade, avec à la clef une panne qui m'a immobilisé jusqu'à l'averse, je suis rentré passablement énervé, donc avec une conduite franche, sur une chaussé détrempée avec des 888 au temoin : la Cat ne bougeait pas.
Le truc qui doit m'aider, c'est le 1400k sur-puissant et sur-coupleux
Moi aussi, j'ai envie de réagir ... d'abord, le "on ne peut rien y faire", c'est une belle connerie. Bien-sûr qu'on peut y faire. Par exemple, dans la video de davloco, en page 1 : ben à 20 à l'heure, en évitant de lâcher l'accélérateur en passant sur une bande blanche, je suis sûr que ça passait. Pas que je critique, mais c'est juste que rapport aux conditions, c'était pas encore une conduite suffisamment lente et fluide. Quand ça part, c'est qu'on n'a pas assez anticipé. Ca peut arriver à tout le monde ... mais c'est déjà le fait d'un défaut d'appréciation des conditions ou d'un défaut de vigilance.
Perso, soit je sors parce que nécessaire (genre il faisait beau à l'aller, et il faut bien rentrer) et je roule carrément comme un papy, genre 15 à l'heure dans les ronds points et 50 en ligne droite et tant pis pour la fierté du bonhomme ce jour là ... soit comme Vravo, je sors pour le plaisir de la conduite, j'ai les yeux bien ouverts, et j'ai le pied dedans ... et effectivement, je me suis rarement fait peur en mode "attaque".
Une vraie frayeur (qui finit bien) de temps en temps permet de ré-étalonner ses gyroscopes internes...
Bon ... des fois cela coûte un apéritif ... mais si c'est le prix à payer ...
Nous sommes trois à avoir glissé là, mais tu étais le plus optimiste !
"Il y aurait plusieurs façons d'être con, mais le con choisit toujours la pire." (Frédéric Dard)
Je suis responsable de ce que j'écris , mais pas de ce que vous comprenez!!!!!
2.3 Cosworth Powaaaaa!!!!
J'ai déjà rapporté un témoignage sur ce salon : c'était l'histoire d'une Cat qui s'est langoureusement blottie (en fait pulvérisée) contre une glissière de sécurité sur autoroute, par temps pourri.
Je vais paraître un peu casse-barraque et je m'en excuse. Vraiment.
Mais j'ai tout de même envie de réagir à ce que je lis : les notions de maîtrise de transfert de masse, le jeu avec les essieux, la température de la pluie, et tout ça... C'est bon à raconter entre potes autour d'une bière, ou alors à appliquer sur circuit, quand on a déjà un casque, des dégagements, pas de voiture en face, et des piles de pneus pour vous cageoler au moment du contact... Histoire de rattraper la mauvaise mise en pratique du discours expert, tenu une bière à la main.
Là sur la route, il y a quand même le principe de réalité.
Et le principe de réalité, c'est que quand vous prenez votre Seven par temps pourri ou non, on s'inquiète pour vous. Votre femme, vos enfants s'inquiètent pour vous. C'est aussi que quand vous prenez votre Seven par temps pourri, quand ça décroche, pour 90% d'entre vous, les cours de pilotage qu'on a sortis au pote, ils servent plus à rien. Ils servent plus à rien parce que sous la pluie, même à 40 à l'heure, c'est déjà un peu trop tard (j'ai vu une petite vidéo trainer...).
Ils servent plus à rien aussi parce que, si avec cette bagnole c'est sous la pluie que vous avez envie déconner, c'est qu'il y a un problème dans la tête.
Donc, les vraiment excellents pilotes, les vrais de vrais, ils vous le diront :
1 - par temps pourri, on évite de prendre la Seven.
2- Et si on prend la Seven, on fait comme si on tenait le volant d'une 4 chevaux.
C'est ce que je fais avec celle de mon père. C'est ce qu'il fait avec la sienne. Tout le monde est tranquille, cool. Et ça reste un pur objet de bonheur. Et les moments passés ensemble sous la pluie, sous la capote, nous laissent des souvenirs tordants. Ca tombe bien, la Cat est faite pour ça.
Bien à vous !
Je partage à 100% ce point de vue et le recommande chaudement.
En Seven, par temps de pluie, il faut accepter de se faire klaxonner par les 4L et doubler par les Saxo...
Et il y a aussi un truc magique qui peut se passer si on sait le percevoir: la sensation à 50km/h de rouler contre les éléments à l'abri d'une frele capote (qui rappelle la canadienne de la grande époque du camping), avec l'eau qui dégouline de partout et sautille sur le capot, les gerbes de flotte qui partent à l'horizontal des ailes avant, on se sent comme l'arche de Noe perdu en mer. Et comme au grand soleil, ca aussi, c'est l'aventure...
J'ai déjà rapporté un témoignage sur ce salon : c'était l'histoire d'une Cat qui s'est langoureusement blottie (en fait pulvérisée) contre une glissière de sécurité sur autoroute, par temps pourri.
Je vais paraître un peu casse-barraque et je m'en excuse. Vraiment.
Mais j'ai tout de même envie de réagir à ce que je lis : les notions de maîtrise de transfert de masse, le jeu avec les essieux, la température de la pluie, et tout ça... C'est bon à raconter entre potes autour d'une bière, ou alors à appliquer sur circuit, quand on a déjà un casque, des dégagements, pas de voiture en face, et des piles de pneus pour vous cageoler au moment du contact... Histoire de rattraper la mauvaise mise en pratique du discours expert, tenu une bière à la main.
Là sur la route, il y a quand même le principe de réalité.
Et le principe de réalité, c'est que quand vous prenez votre Seven par temps pourri ou non, on s'inquiète pour vous. Votre femme, vos enfants s'inquiètent pour vous. C'est aussi que quand vous prenez votre Seven par temps pourri, quand ça décroche, pour 90% d'entre vous, les cours de pilotage qu'on a sortis au pote, ils servent plus à rien. Ils servent plus à rien parce que sous la pluie, même à 40 à l'heure, c'est déjà un peu trop tard (j'ai vu une petite vidéo trainer...).
Ils servent plus à rien aussi parce que, si avec cette bagnole c'est sous la pluie que vous avez envie déconner, c'est qu'il y a un problème dans la tête.
Donc, les vraiment excellents pilotes, les vrais de vrais, ils vous le diront :
1 - par temps pourri, on évite de prendre la Seven.
2- Et si on prend la Seven, on fait comme si on tenait le volant d'une 4 chevaux.
C'est ce que je fais avec celle de mon père. C'est ce qu'il fait avec la sienne. Tout le monde est tranquille, cool. Et ça reste un pur objet de bonheur. Et les moments passés ensemble sous la pluie, sous la capote, nous laissent des souvenirs tordants. Ca tombe bien, la Cat est faite pour ça.
Bien à vous !
Je partage à 100% ce point de vue et le recommande chaudement.
En Seven, par temps de pluie, il faut accepter de se faire klaxonner par les 4L et doubler par les Saxo...
Et il y a aussi un truc magique qui peut se passer si on sait le percevoir: la sensation à 50km/h de rouler contre les éléments à l'abri d'une frele capote (qui rappelle la canadienne de la grande époque du camping), avec l'eau qui dégouline de partout et sautille sur le capot, les gerbes de flotte qui partent à l'horizontal des ailes avant, on se sent comme l'arche de Noe perdu en mer. Et comme au grand soleil, ca aussi, c'est l'aventure...
Je plussoie, pour le débutant en Cat que je suis
Catétroit 7 n'est plus ... mais Moustache est reviendu !
chap3d a écrit :
Je partage à 100% ce point de vue et le recommande chaudement.
En Seven, par temps de pluie, il faut accepter de se faire klaxonner par les 4L et doubler par les Saxo...
Et il y a aussi un truc magique qui peut se passer si on sait le percevoir: la sensation à 50km/h de rouler contre les éléments à l'abri d'une frele capote (qui rappelle la canadienne de la grande époque du camping), avec l'eau qui dégouline de partout et sautille sur le capot, les gerbes de flotte qui partent à l'horizontal des ailes avant, on se sent comme l'arche de Noe perdu en mer. Et comme au grand soleil, ca aussi, c'est l'aventure...
Je plussoie, pour le débutant en Cat que je suis
toi tu plussoies parce que t'as vu écrit capote ... ça ne compte pas